on ne plie pas le bonheur
on le porte sur soi
la terre
le vent
le sable attendent sur le pas de la porte
je reçois la rosée
la lumière
l’espoir
des herbes folles accourent dans le préau des pluies
je reconstruis le jour avec des cailloux
des vagues
des virgules
les cordes à linges sourient d’une chemise à l’autre
le blé donne le grain
la fleur donne le fruit
la peur donne des ailes
la source donne l’eau
je regarde
je guette
j’écoute la lumière
la mort
le tonnerre
et le vent
mon poème demeure un chemin sous la pluie
un simple grain de riz
un premier cri d’enfant
je continue ma route en parlant au soleil
j’appartiens à la terre
on le porte sur soi
la terre
le vent
le sable attendent sur le pas de la porte
je reçois la rosée
la lumière
l’espoir
des herbes folles accourent dans le préau des pluies
je reconstruis le jour avec des cailloux
des vagues
des virgules
les cordes à linges sourient d’une chemise à l’autre
le blé donne le grain
la fleur donne le fruit
la peur donne des ailes
la source donne l’eau
je regarde
je guette
j’écoute la lumière
la mort
le tonnerre
et le vent
mon poème demeure un chemin sous la pluie
un simple grain de riz
un premier cri d’enfant
je continue ma route en parlant au soleil
j’appartiens à la terre
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