je ne veux plus compter les cheveux et la paille la poussière dans tes yeux l'éphémère du vent les cils de tes paupièreset ces litres de larmes je ne veux plus compter les mots qu'on n'entend pasles nuits sans sommeil
dans la désespérance les maisons qui s'écroulent les enfants qui s'enfuient les vieux corps retrouvés tristes de vivre encore je ne veux plus compter les maçons de pagaille les pécheurs de misère à la dent ricanante les charmeurs d'imbéciles ou d'innocents
peut être je ne veux plus compter sur mes doigts puisque ta main me suffit pour trouver le bonheur
dans la désespérance les maisons qui s'écroulent les enfants qui s'enfuient les vieux corps retrouvés tristes de vivre encore je ne veux plus compter les maçons de pagaille les pécheurs de misère à la dent ricanante les charmeurs d'imbéciles ou d'innocents
peut être je ne veux plus compter sur mes doigts puisque ta main me suffit pour trouver le bonheur
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