je le sais bien tu vis et vivra d’autres histoires
quelques unes à n’en plus finir
d’autres ne seront jamais écrites d’autres comme la nôtre
jamais écrites sur la page blanche qui nous sépare
qui nous sépare toi et moi
mais sur l’étendue la distance entre
il y a une rose jaillie de la neige de mes bras
mes bras dans lesquels tu t’ai blottie sans le savoir
sans même être aperçue
par une porte inexistante
par une fissure si petite
qu’elle rend les passants invisibles
et c’est pour cela qu’il n’y a plus jamais personne dans mon regard
tu ne quittera jamais ce refuge
il t’abrite
te fond en moi
te dissout dans un parfum mystérieux
en faisant de toi
un grain de sable au bord de mes yeux
et c’est pour cela que j’essuie en cachette une larme
quelques unes à n’en plus finir
d’autres ne seront jamais écrites d’autres comme la nôtre
jamais écrites sur la page blanche qui nous sépare
qui nous sépare toi et moi
mais sur l’étendue la distance entre
il y a une rose jaillie de la neige de mes bras
mes bras dans lesquels tu t’ai blottie sans le savoir
sans même être aperçue
par une porte inexistante
par une fissure si petite
qu’elle rend les passants invisibles
et c’est pour cela qu’il n’y a plus jamais personne dans mon regard
tu ne quittera jamais ce refuge
il t’abrite
te fond en moi
te dissout dans un parfum mystérieux
en faisant de toi
un grain de sable au bord de mes yeux
et c’est pour cela que j’essuie en cachette une larme
2 Comments:
pleure, mon petit... pleure... et qu'il nous en reste chaque fois quelques chose. Corbière écrivait bien avec ses larmes ! Passante d'un instant, inconnue habituelle, voisine de palier... Cela nous fera toujours prétexte.
This comment has been removed by a blog administrator.
Post a Comment
<< Home